lundi 11 août 2008

Réaction aux excès d'Eri Zemmour -

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Féminisation et masculinisassion. Les deux dans un même élan vers un nouvel ordre, de nouveaux rapports sociaux les uns avec les autres.
Si de son côté la "féminisation" de l'homme ne fait pas inéluctablement de lui un homosexuel elle ne le désavantage pas non plus nécessairement dans ses conquêtes féminines. Alors qu'à contrario la masculinisassions de la femme aurait plutôt tendance à produire les effets inverses. Sans être castratrice cette femme nouvelle apparaît moins séductrice, moins attirante pour l'homme qui ne la désire plus autant....
Selon moi, en terme d'attirance des sexes, le plus grand danger en vérité est la perte d'attractivité des jeunes femmes qui ne voient pas, ne comprennent pas ce qui leur arrive. Faille ou mauvaise influence éducative des parents, de l'école et de certains médias de la presse sont en cause.
N'est désirable que ce qui se dérobe en faisant naître de terribles espérances. J'ai le souvenir VRAIMENT exquis et troublant de femmes qu'un moindre dénuement rendait immensément désirables. Qu'en est-il de cette fièvre aujourd'hui, alors que la femme a concéder à sa démythification ?

Pour ce qui ressort de "l'homo consumérisme masculin", il me semble utile de rappeler que ce phénomène ne date pas d'hier. Réservé plus généralement aux classes "aisées" ce plaisir a longtemps intéressé la noblesse, l'aristocratie, puis la bourgeoisie. En vérité la coquetterie, l'élégance masculine sont restées jusque dans les années 60 bien plus poussée qu'elles ne sont aujourd'hui au sein de la communauté "gaie". Ce marché n'est donc pas une nouveauté; ce qui l'est en revanche c'est sa démocratisation et son bisexualisme.


On le voit, l'analyse de Zemmour inachevée et partisane aurait méritée un plus large traitement.

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