Ce soir ou jamais - suite

j
Alors, je vous réponds sur ce dernier point. L'ensemble des versets coraniques sont dépourvus de suites logiques, et nombre d'entre eux se contredisent radicalement.
Je ne parlerais pas de la haine de l'impie qui s'en dégage clairement et sans voile pratiquement à chaque page, des menaces, des tortures que l'on nous promet ainsi que du jour ultime tant attendu qui verra notre monde finir par la grâce du tout puissant, du Miséricordieux.
Toutes tentatives d'interprétation sont fallacieuses dans la mesure où aucun autre texte témoin de l'époque ne peut épauler vos dires.
Les hadiths éventuels dont vous ne tarderez pas à me vanter les mérites - au nombre de 700 000- contribuent pour large part à étayer mes propos. C'est sur eux qu'ils se fondent.
Également, la Sira d'Ibn Hichâm a su nourrir ma réflexion et ma connaissance de l'islam.
J'y ai appris (ce que j'ignorais avant) que le prophète était un guerrier sanguinaire, imprévisible, féroce et qu'il pouvait égorger de ses propres mains un nombre impressionnant de captifs, que sa garde rapprochée était des plus terrifiante !!!
TOUT CELA JE L'AI LU DANS VOS "MÉMOIRES" OFFICIELS QUE L'ENSEMBLE DE LA COMMUNAUTÉ MUSULMANE N'A JAMAIS SONGE A REMETTRE EN CAUSE.
Il n'est jamais trop tard, dit-on ! Personnellement, je dis que nous sommes dans l'urgence de cet aggiornamento.

Ce soir ou jamais - Invité Mahmoud Oul Ohamedou

S
L'élégance arachnéenne d'une tarentule.

Les naïfs qui n'ont rien compris au brouillard que sème délibérément Mahmoud Oul Mohamedou devraient relire, à tête bien reposée, ce qu'il a dit, ce qu'il a objecté aux questions qui le dérangeaient durant cette émission du 21 avril.

Si la concision n'est pas son fort, pas plus que la clarté, ce n'est pas dans le seul but de nous en imposer intellectuellement mais bien avec cette intention perfide de mieux nous prendre dans ses toiles qu'il s'entend à tisser avec l'élégance arachnéenne d'une tarentule après vous avoir inoculé son venin et savamment endormi.

Ce monsieur très cultivé n'est pas ce que l'on croit: un pure démocrate insensible aux thèses les plus extrêmes de l'islam. Comparable à Tariq Ramadan, mais en plus énorme peut-être, il se sert des mêmes armes. Lire également : La Tribune n°374.

Peu mesurent l'étendu, l'importance de ses intentions.

Ce soir ou jamais du 21avril 2002 - Al QAIDA

Bravo à cette émission et à son animateur Frédéric Taddeï

Pour les quelques reproches qui lui sont faites, je dirais que rien n'est parfait et que ce "simulacre" de démocratie là est de beaucoup préférable à celui que connaissent bon nombres de ces pays soumis aux lois religieuses que nous savons sans les devoir nommer.

Pour en revenir aux invités, je tiens à dire mon remerciement pour l'éclairage qu'ils ont su répandre dans le temps qui leur était imparti sur ce sujet "Al qaida" qui nous concerne tous.
Certes, je l'admets, un débat plus ouvert encore serait sans doute souhaitable qui laisserait la parole à quelques points de vues (parfois allumés) qui ne sont pas les miens mais que je respecte dans la mesure où ceux qui les soutiennent procèdent de même à mon égard.

Léger bémol sur la personnalité de l'invité qui ayant fait ses études aux États-Unis se trouve aujourd'hui vivre en Mauritanie. Curieux destin ! Peut-on vivre dans ce pays et que peut-y produire un intellectuel spécialisé en politique interntionnale ? Je trouve également étrange sa sensibilité extrême lorsque l'on approche certaines vérités qui dérangent, telles que les compromissions de certains musulmans avec le nazisme ainsi que son opposition farouche à tout aggiornamento de l'islam. Aggiornamento qui, en vérité, est indispensable à la survie du concept d'un islam "modéré".

Monsieur Mohammad Mahmoud Oul Mohamedou - qui n'est pas sans nous rappeler un certain Tariq Ramadan - si bien policé dans son apparence qui se pose au devant de la scène médiatique avec talent ne saurait m'en vouloir de chercher à en approfondir sa connaissance.

Quelque chose en moi s'agite qui n'intéresse que moi et qui pousse mon être à poursuivre sa route.

Arche de Zoé et Eric Zemmour

i
Alain Peligat, membre de l'Arche de Zoé qui vient de passer six mois en prison dont cinq mois au Tchad, après avoir été jugé dans des conditions inadmissibles qui outrepassent le ridicule, l'inacceptable par la prétendue justice locale tchadiennne, vient d'affronter ses nouveaux magistrats sur France 2 ce samedi 5 avril dernier dans l'émission du célèbre comique troupier Laurent Ruquier.

Ces fameux, les "je sais tout", "on ne me cache rien," en l'occurrence ici, messieurs les Eric Zemmour et Eric Naulleau, qui en d'autres circonstances me sont plutôt sympathiques, en empruntant la bure de magistrats "intègres" qu'en d'autres circonstances ils savent si bien dénoncer, m'ont passablement irrité quant à leur suffisance à prétendre tout savoir d'une affaire pour beaucoup encore obscure.

Ont-ils perdu de vue l'influence qui est la leur dans cette émission où ils se trouvent en vérité investi d'un pouvoir médiatique considérable ?
Quand ces bien acides et redoutables procureurs s'avancent, il n'est pas bon d'être sur leur devant.
En leur qualité de journalistes, sont-ils fondés à dresser les potences sur des affaires où toutes les pièces n'y sont pas ?
Je trouve déplacé leur certitude dans cette affaire de ZOé quand ils n'affichent aucun doute sur la culpabilité des ces pauvres âmes que chacun pressent pourtant remplies des meilleures intentions !
(De tels procureurs auraient sans doute fait merveille dans d'autres affaires de sinistre mémoire qui nous viennent à l'esprit.)

C'est que ces bons apôtres de l'information spectacle n'ont pas tant d'intérêt à la détresse de ces enfants malmenés, maltraités, délaissées, abandonnés quand ce n'est pas instrumentalisés à des fins de guerres ou d'intérêts purement financiers.

A contrario, je trouve que le chanteur Adamo, lui, a su parler et dire ce qu'il fallait dire sur le sujet en soulignant sa profonde indignation au sort fait à ces nombreux enfants qui, de par le monde, dépourvus de respect, d'attention et d'affection familiale, sont livrés à eux-mêmes quand rien, pas le moindre droit efficient, droit international de l'enfance, ne protège.

Non ! monsieur Eric Zemmour,le silence n'est pas dû devant la souffrance des innocents. Mais à l'inverse lui doit-on à cette souffrance un vacarme terrible, un courage sans faille ainsi qu'un dévouement à la combattre, à la dénoncer que vous semblez ne pas pouvoir, ne pas vouloir comprendre et cela au nom d'un principe, d'une mécanique intellectuelle à laquelle vous ne sauriez rien sacrifier pas même le bonheur de ces enfants, si proches, du bout du monde, d'un autre monde, d'un monde qu'ils n'ont pas choisi et dont ils ne rêvent pas la nuit quand enfin ils ferment des yeux éplorés et que s'éteint cette conscience affreuse du réel, de cette vie qui s'acharne sur eux, sur leurs frêles épaules comme un supplice.
Cette vie qui n'est pas faite pour eux, n'étant faite pour personne et qu'on leur impose au nom d'idées folles et caducs .... que nous ne saurions contester ?
Quelque chose m'échappe ici dans la cohérence !

J'en suis navré pour vous, mais vous pesez du mauvais côté de la balance dans ce procès.

Trafics d'oragnes de prisonniers Serbes au Kosovo

Saviez-vous que l'impensable existait et que des sommets de l'horreur nous avions encore à franchir ? Voilà qui est fait !! En voici la démonstration.

Des leaders des Albanais du Kosovo, dont l'actuel Premier ministre Hashim Thaçi, auraient trempé dans un trafic d'organes prélevés sur des prisonniers serbes. C'est ce qu'avance dans un livre témoignage Carla Del Ponte, ancien procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY).

Environ 300 prisonniers, dont des femmes, des Serbes et d'autres ressortissants slaves, ont été transportés au courant de l'été 1999 depuis le Kosovo jusqu'en Albanie où ils étaient enfermés dans une sorte de prison et où des chirurgiens prélevaient leurs organes, écrit la juriste devenue ambassadeur de Suisse en Argentine après avoir dirigé pendant huit ans le parquet du TPIY,

"Ces organes étaient ensuite envoyés depuis l'aéroport de Tirana vers des cliniques à l'étranger pour être implantés sur des patients qui payaient", affirme Mme Del Ponte dans ce livre "La chasse, moi et les criminels de guerre" ("La Caccia"), sorti ce mois-ci en italien en Italie et écrit en collaboration avec Chuck Sudetic, un reporter du New York Times.

"Les victimes privées d'un rein étaient de nouveau enfermées dans une baraque jusqu'au moment où elles étaient tuées pour d'autres organes", précise-t-elle.

"Les dirigeants d'un niveau intermédiaire et élevé de l'UCK étaient au courant et étaient impliqués de manière active dans la contrebande des organes", dénonce Mme Del Ponte. (source AFP)

Commentaires Internet. Bien évidemment, circulez il n'y a rien à voir. Le scénario d'indépendance du Kosovo co-écrit par les Etats Unis et la Turquie n'aque faire de la vérité. La fiction l'emporte, imposée par les bombes et la propagande sans répit des grands médias occidentaux. Si, un jour, la vérité finissait d'aventure par éclater, il serait bien trop tard pour punir les coupables, et pour sauver les derniers civils serbes innocents du Kosovo, livrés à des mafieux et des islamistes.

(Awarness) Ainsi après avoir subi l'enfer, les Albanais (3,5 millions d'habitants à 70% musulmans) conçoivent-ils comme étant légitime de le faire subir à leur tour. Cette logique qui n'est pas la mienne a cependant les pieds sur terre où l'enfer n'est jamais si loin.

Injuste retour des choses

La Chine avec un bémol à la clef quand même...

Sans m'opposer aux légitimes protestations de ceux qui réclament plus de démocratie en Chine avec en point d'orgue le dossier du Thibet, quelque chose poursuit à me gêner sur la focale.
Pourquoi, la Chine qui n'a jamais été aussi démocratique durant toute son histoire suscite-elle aujourd'hui, alors qu'elle est en train de s'ouvrir, tant d'intérêt, tant de zèle ?

Je nous trouve tellement plus complaisant avec les tailbants, les moudjadines du peuples et toute la cliques islamiste qui pourtant ne font pas mystère de leurs intentions hégémoniques et démoniaques, qui ne pensent, qui ne visent qu'à nous détruire et nous soumettre à leurs lois inhumaines,

Alors la Chine à côté, vous pensez...

Qui peut songer à nier que la dictature Chinoise, pour autant qu'elle soit inadmissible à des esprits occidentaux, n'en demeure pas moins de beaucoup (dans cet ordre de grandeur) inférieure à celles de ces pays où triomphe un islam farouche que nous n'osons aussi clairement dénoncer, qui bien pires enfreignent les lois humaines les plus élémentaires et qui de surcroît vomissent ouvertement et de toutes parts, en tous points, les droits de l'homme et de la femme en grand particulier et ce dans leur absolue intégralité !

Je suis d'accord sur le cas de la Chine notamment au Thibet, cependant....combien de femmes, d'hommes et d'enfants de par le monde sont maltraités ? Si maltraités que l'on ne puisse rester sans rien faire, sans rien dire alors que l'on ne fait rien, que l'on ne dit rien pour en défendre la cause.

Ne serait-ce pas que la Chine est devenue plus perméable, plus flexible et que l'on perçoit un talon d'Achile, là où autre part il ne se trouve aucun espoir ?

C'est sans doute qu'il nous dérange d'interpeller des cultures objectivement sclérosées, à la limite de la fossilisation, en totale, parfaite contradiction avec la nôtre et contre lesquelles nous sommes à court d'argument faute de courage et d'honnêteté intellectuelle. C'est qu'il dérange nos consciences de dénoncer ces crimes d'un autre temps que défendent aujourd'hui encore des cultures aux racines tribales les plus arriérées, les plus rétrogrades.
C'est qu'ils s'y entendent aussi pour réveiller chez nous cette mauvaise conscience coloniale; conscience coloniale qui de leur côté n'est que facteur de gloire.
Comme ils sont habiles et comme nous sommes sots !

D'accord la Chine..... mais avec quelques égards quand même, s'il vous plaît.
Sait-on vraiment ce qu'elle a connu la Chine aux cours de ces 50 dernières années de dictature communiste ?? Combien savent ce qu'ont dû manger les chinois pour survivre durant cette période et jusqu'où beaucoup sont descendus malgré eux, tiraillés par la faim, par la nécessité inexplicable de survire ?

Il est à souhaiter que notre zèle à dénoncer ce qu'il y a lieu de l'être chez ce géant d'argile ne s'épuise pas sur ces murailles

Eric Zemmour et l'Arche de Zoé...

Alain Peligat, membre de l'Arche de Zoé qui vient de passer six mois en prison dont cinq mois au Tchad, après avoir été jugé dans des conditions inadmissibles qui outrepassent le ridicule, l'inacceptable par la prétendue justice locale tchadiennne, vient d'affronter ses nouveaux magistrats sur France 2 ce samedi 5 avril dernier dans l'émission du célèbre comique troupier Laurent Ruquier.

Ces fameux, les "je sais tout", "on ne me cache rien," en l'occurrence ici, messieurs les Eric Zemmour et Eric Naulleau, qui en d'autres circonstances me sont plutôt sympathiques, en empruntant la bure de magistrats "intègres" qu'en d'autres circonstances ils savent si bien dénoncer, m'ont passablement irrité quant à leur suffisance à prétendre tout savoir d'une affaire pour beaucoup encore obscure.

Ont-ils perdu de vue l'influence qui est la leur dans cette émission où ils se trouvent en vérité investis d'un pouvoir médiatique considérable ?
Quand ces bien acides et redoutables procureurs s'avancent, il n'est pas bon d'être sur leur devant.
En leur qualité de journalistes, sont-ils fondés à dresser les potences sur des affaires où toutes les pièces n'y sont pas ?
Je trouve déplacé leur certitude dans cette affaire de ZOé quand ils n'affichent aucun doute sur la culpabilité des ces pauvres âmes que chacun pressent pourtant remplies des meilleures intentions !
(De tels procureurs auraient sans doute fait merveille dans d'autres affaires de sinistre mémoire qui nous viennent à l'esprit.)

C'est que ces bons apôtres de l'information spectacle n'ont pas tant d'intérêt à la détresse de ces enfants malmenés, maltraités, délaissées, abandonnés quand ce n'est pas instrumentalisés à des fins de guerres ou d'intérêts purement financiers.

A contrario, je trouve que le chanteur Adamo, lui, a su parler et dire ce qu'il fallait dire sur le sujet en soulignant sa profonde indignation au sort fait à ces nombreux enfants qui, de par le monde, dépourvus de respect, d'attention et d'affection familiale, sont livrés à eux-mêmes quand rien, pas le moindre droit efficient, droit international de l'enfance, ne protège.

Non ! monsieur Eric Zemmour,le silence n'est pas dû devant la souffrance des innocents. Mais à l'inverse lui doit-on à cette souffrance un vacarme terrible, un courage sans faille ainsi qu'un dévouement à la combattre, à la dénoncer que vous semblez ne pas pouvoir, ne pas vouloir comprendre et cela au nom d'un principe, d'une mécanique intellectuelle à laquelle vous ne sauriez rien sacrifier pas même le bonheur de ces enfants, si proches, du bout du monde, d'un autre monde, d'un monde qu'ils n'ont pas choisi et dont ils ne rêvent pas la nuit quand enfin ils ferment des yeux éplorés et que s'éteint cette conscience affreuse du réel, de cette vie qui s'acharne sur eux, sur leurs frêles épaules comme un supplice.
Cette vie qui n'est pas faite pour eux, n'étant faite pour personne et qu'on leur impose au nom d'idées folles et caducs .... que nous ne saurions contester ?
Quelque chose m'échappe ici dans la cohérence !

J'en suis navré pour vous, mais vous pesez du mauvais côté de la balance dans ce procès.

Un semblable ridicule vous fait cortège qui me déçoit, me consterne et m'afflige.


"De là où me parvient des pleurs enfantins, je ne saurais voir de frontière"

"Entre-eux et moi, il n'est de frontière que celle de ma lâcheté"

Pôle Nord . Descente vers l'enfer

Il est des évidences qui frappent l'esprit le plus attardé.

Pourquoi ne réagissons - nous pas ? Quand il est dans leur pouvoir de faire quelque chose, pourquoi nos dirigeants ne font - ils rien pour tenter de freiner le bouleversement climatique dont nous sommes tous responsables ?

Sans jeter de l'eau sur la banquise, nous ne saurions ignorez le risque encouru sans en prendre un plus grave encore.

On nous démontre que la banquise au Pôle Nord est en train de fondre, qu'elle se fragmente et l'on poursuit à nous parler de croissance économique, dans ce monde saturé de déchets, aux richesses naturelles en passe de finissions ????????

Mais où ne courons - nous pas ??? Pourquoi cet oeil faussement borgne ?

Quand le milieu naturel, c'est à dire notre espace vital, se trouve de plus en plus compromis, quand nos ressources énergétiques majeures se confirment être sur leur pente finissante, que ses stocks se raréfient, (ce qui explique amplement la monté des cours de ces matières), quand la menace de ce grand bouleversement n'a jamais été si imminente, pourquoi ne prend - on pas les moindres des mesures qui s'imposent ?

Il serait, par exemple, aisé de réduire rapidement nos consommations énergétiques pétrolières en démultipliant intelligemment des moyens collectifs de transports qui restent encore très insuffisants. Passant de ville en ville, il est possible de concevoir des bus et mini bus, ainsi que dans nos grandes villes, il est possible de redécouvrir de nouveaux moyens de déplacements tel que les "jinrikisha" japonais ou autres cyclo-pousses Indonésiens et Malaisiens.

Nous pourrions aussi favoriser, simplifier voir banaliser et moraliser le co-voiturage.

Nous pourrions également favoriser plus encore l'agriculture biologique, créatrice d'emplois, protectrice de la nature. Ainsi sauvegarderions - nous nos nappes phréatiques, et nos cours d'eau dépollués retrouveraient - ils leur abondance tout comme feraient les océans, leurs héritiers, eux - mêmes très appauvris par le cumuls insouciant de nos pillages et de notre passivité.

Le recyclage des déchets devrait s'intensifier.

Comment se fait-il qu'une ville comme Paris ne pratique pas le tri de ses déchets, alors qu'on l'impose, à juste raison, à mon village de 500 âmes ??

Un nouvel ordre mondial devrait être institué qui mette chaque état devant ses responsabilités !!! Une autorité réelle scientifique et politique est nécessaire.