mardi 26 février 2008

L'afrique est libre, hélas !


Ce n'est pas être raciste que de reprendre les propos de chefs d'états Africains quand ils disent: "la violence est un fait culturel chez nous que vous ne pouvez pas comprendre, contre lequel vous ne pouvez rien et serez longtemps encore impuissants".


Et quand ils ajoutent: "Vous n'avez aucune idée de ce qu'est l'esprit d'un guerrier africain" on pressent encore mieux le gouffre qui nous sépare; gouffre auquel des millions de victimes, femmes et enfants sont vouées.

Non, ce n'est pas être raciste que de dire que ce continent qui, il y a encore peu, avait tout d'une terre promise n'est plus aujourd'hui qu'un champs de ruines, une terre de désolation que gouvernent des chefs d'états inaptes à diriger une nation moderne, qui, corrompus jusqu'à la corde, ne visent qu'à leurs propres intérêts.

Non ce n'est pas être raciste que de regretter une ère coloniale, récente encore en nos mémoires, dont la France, notamment la France, n'a pas à rougir. Bien loin de là !!! N'en déplaise à beaucoup que cela dérangent et aux autres qui ne savent pas !

Par les moyens que ce bien et cette paix inspirent....je vous salue Marie / Asselémon aléiki ya Mariam !

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Je suis profondément hâté mais je salue bien bas les oeuvres humaines, toutes les oeuvres humaines, quelles qu'elles soient, qui se penchent sur le sort et viennent en aide aux plus démunis.

Celles du religieux en elles-mêmes ne me dérangent donc pas et je les salue avec autant de vigueur que je ferais autrement.

J'approuve et je salue tous ceux et celles qui oeuvrent pou
r le bien et la paix dans le monde par les moyens que ce bien et cette paix inspirent.



Je vous salue Marie ! - Asselémon aléiki ya Mariam

Pleine de grâce - Ya moumtaléa naama


Le Seigneur est avec toi - Rabbou maaki

Bénie sois-tu entre les femmes - Moubaraka enti fi‘nissa






La récidive des malades sexuels et des perverts.


La récidive des malades sexuels cause problème en ce sens que rien ne saurait l'interdire.

Prétendre qu'en s'en remettant à des spécialistes de la médecine psychiatrique il sera possible de s'avancer vers une solution acceptable, c'est méconnaître gravement l'état de pauvre avancée dans laquelle cette branche de la médecine se trouve.

Mal dans son être

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Je ne souhaite à personne d'être mal dans son être, d'être mal à l'aise avec son destin.

Je ne souhaite à personne de s'y complaire et de s'y installer par fatalisme.

Je hais le fatalisme
!!!

Etre de gauche ne doit pas vouloir dire être un Tartuffe ni un con châtré.


Être
de gauche, mis à part le confort, le bien être que cela procure, ne veut pas dire être "borgne" et ne jamais voir la chose publique dans son entièreté.

Pour être clair, on peut être de gauche (éventuellement) et voir la complexité du monde telle qu'elle se pose. On devrait pouvoir même admettre que certains
principes qui ne sont pas de gauche, de sa culture, n'en sont pas moins vrai et DONC irréformables.

Parmi ces principes, je citerais pour beaucoup l'éducation et son principe d'autorité, l'amour du beau, des belles choses, des beaux objets, le respect de soi-même, le goût pour un certain raffinement et , par dessus tout, un désir féroce pour tout ce qui brille, fait éclat en toutes choses possibles et imaginables.

Qui a-t-il de plus beau qu'une liasse de billlets bien large, bien épaisse, mis à part les yeux d'Elsa, bien entendu ?

lundi 25 février 2008

Islamo fascism is an inner reality !

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Because a cat is a cat, we are empowered to talk that way !

A l'attention de ceux qui prétendent qu'il n'y a pas lieu d'avoir peur de parler librement....

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Qu'ils s'expriment donc librement !!

Et qu'en leur qualité de démocrate qu'ils dénoncent ce qu'il y a lieu, à savoir des sévices, des excisions, des lapidations, des humiliations, des pratiques barbares, des crimes innombrables commis notoirement à l'encontre des femmes, l'intolérable constance !




dimanche 24 février 2008

ISLAMO-FASCISME ?


"Islamo-fascisme" est une expression de plus en plus employée. Je constate !

Oui! je constate que je ne suis pas le seul à voir les choses sous cet angle. Ce qui me rassure effectivement et soulage mon fardeau.

L'extrémisme, une anomalie mentale ?


La question mérite d'être posée tant les critères de la raison se trouvent à son encontre inopérants.



Wikipedia
nous dit ceci:


Une maladie mentale est une affection qui perturbe la pensée, les sentiments ou le comportement d'une personne de façon suffisamment forte pour rendre son intégration sociale problématique ou lui causer de la souffrance.

Les symptômes sont variés et diffus :
  • Conduite asociale et perturbation des relations.
  • Troubles de l'humeur.
  • Altération de la personnalité.
  • Troubles cognitifs et perceptuels, hallucinations.
  • Altération de la perception du réel.

samedi 23 février 2008

KHATOUCHA ASSASSINEE ??

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Non encore élucidée sa mort très récente inquiète ses proches qui réclament une enquête approfondie. Des arguments trop précis, trop forts plaident pour le pire.

Par ailleurs, comment se fait-il que le monde du spectacle, de la mode demeure si peu loquasse à sa disparition. Que craint-il ? Sommes-nous tous le joug potentiel de quelques interdits et notre courage (celui notamment du monde libre) doit-il, pour survivre, baisser les bras et laisser à des forces obscures si aisément identifiables le pouvoir, en nous effrayant, de nous museler ?

A sa mémoire, à son courage exemplaire elle mériterait plus d'intérêt, plus d'attention de la part d'une profession à laquelle elle apparaissait toujours comme figure emblématique.

Il est curieux de constater que sa lutte contre l'excision des africaines ne fait pas davantage recette au pays fondateurs des droits de l'homme.

Il serait pitoyable et consternant que nous en restions là !!!


Ismaël


Devenue trop gênante avec ses révélations fracassantes Khatoucha Niane meurt noyée dans la Seine

Image


Article Par ANTA FAYE DIOP,


Paru le Jeudi 7 Fév 2008

Sept jours après sa disparition, le corps de Katoucha Niane vient d’être repêché dans les eaux froides de la Seine. Ce ne serait pas une mort accidentelle comme l’a supposé le journal Le Figaro. Car, un de ses amis qui a passé la soirée avec elle, en l’occurrence, Victor, révèle que si vraiment elle s’était noyée, elle serait tombée avec son sac à main. Quelqu’un l’aurait donc balancée dans le fleuve. Mais pour quelle raison ?
La princesse peulh est morte ! Et tout laisse croire qu’elle aurait été tuée pour des raisons non encore élucidées. Son corps a été repêché des eaux froides de la Seine hier après six jours de disparition. Tout est parti d’une soirée très arrosée, vendredi dernier. Il était près de deux heures du matin, lorsque, raccompagnée par des amis avec qui elle venait de dîner, Katoucha Niane, âgée de 47 ans, regagne son domicile parisien à bord d’une péniche amarrée le long de la Seine, à proximité du pont Alexandre III. Il pleut à verse sur la capitale française ce soir-là, selon Le Figaro. Et, comme à son habitude, la célèbre mannequin porte des hauts talons et une robe griffée. Selon nos informations, bien qu’étant ivre, elle prend conge de ses amis qui la croient en sécurité à bord. Ceux-ci la laissent, sans savoir que Katoucha habite en fait une deuxième péniche, amarrée à la première. Le matin, le fils du propriétaire de la péniche qui l’héberge découvre son sac à main à l’avant du bateau. A l’intérieur, son téléphone portable, sa carte bancaire, ainsi que les lunettes que l’ex-Top-Model, pourtant myope, refusait de mettre. Depuis, plus de nouvelles. Lundi, la police judiciaire a été saisie. Ces faits sont rapportés par le même journal.

La piste du meurtre n’est pas à écarter

Si l’on a fait croire à la police qu’elle était ivre morte à bord de la péniche, et qu’elle pourrait tomber par inadvertance dans l’eau, cette thèse est rejetée par les amis de la défunte, qui supposent que son sac à main a été trouvé sur place. Victor, un de ses amis qui a passé la soirée avec elle, d’après des sources, s’interroge sur les étranges circonstances de cette disparition. «Pourquoi n’est-elle pas tombée dans l’eau avec son sac? Pourtant, Kathoucha est une femme habituée des virées nocturnes. C’est facile de dire qu’elle a perdu le contrôle de ses sens pour se tuer ainsi»... La police a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de sa mort.

Le traumatisme de l’excision et du viol

Kathoucha a vu le jour en 1960 à Conakry (Guinée). A neuf ans, son père Djidril Tamsir Niane, homme cultivé, historien et archéologue, diplômé de l’Université de Bordeaux et recteur d’Université, décide de la faire exciser. Elle sera conduite par sa mère qui lui signifie qu’elles allaient au cinéma pour se distraire. A ses « bourreaux », la désormais défunte fera payer ce préjudice dans le temps à travers ses conduites de jeune fille égarée. Pourtant, le cauchemar ne vient que de commencer. Sous la dictature de Sékou Touré, ses parents l’obligent à s’exiler au Mali à l’âge de douze ans pour la survie de toute la famille. Et dans son livre «Dans ma chair», Katoucha raconte comment elle était violée tous les soirs, sans pénétration, par son oncle. «Je me souviendrai toujours de ce liquide gluant qui coule régulièrement entre mes jambes. C’est là que sont nés mon goût de la fuite, ma manie de n’avoir jamais envie d’être là où je suis, ma haine de la promiscuité, des marchés», disait-elle. Plus tard, à dix-sept ans, elle prend la fuite pour Paris et sa mère lui dit : «Tu finiras ****, rue St Denis, en fumant du P4». Heureusement, elle sera la première femme noire africaine de l’agence de mode parisienne Glamour dans les années 80. Elle aura le courage de dire ceci : «Ma vie se déroulait pour l’essentiel dans les lieux où l’alcool coulait à flots». C’est ce qui est arrivé vendredi dernier dans ce milieu qu’elle a décrit et où elle a trouvé la mort. Triste fin. Elle quitte ce bas monde en laissant des enfants et une petite fille

jeudi 21 février 2008

Eric Naulleau


Le journaliste, Eric Naulleau, du fait de son statut, a tout pour plaire à un démocrate, à un libre penseur quel qu'il puisse être.

Intellectuellement honnête et fort sympathique, il m'a néanmoins surpris lorsqu'il s'est mis à vouloir mettre en cause "sur un plan moral" la liberté de la presse en parlant des fameuses caricatures du Prophète.
Là s'en était beaucoup ! Beaucoup de concessions envers une lecture certaine du religieux qui ne déguise pas ses intentions antidémocratiques.

Une décision de justice a pourtant été rendue !

Question:
La liberté de se moquer, le parti d'en rire, sont-ils plus blâmable que ceux d'inciter à la haine, au crime des infidèles ??

Il devrait lui aussi relire le Coran.


Nota bene: entre parenthèses le "plan moral" pour un homme de gauche me laisse sans voix.

mercredi 20 février 2008

Je suis catholique et il m'arrive parfois d'avoir à l'égard de ma religion beaucoup à redire.


Par exemple, l'antisémitisme m'insupporte et je m'oppose à un certain nombre, toujours bien réel, qui persistent dans cette hérésie, dans cette absurde entreprise.


Pour moi, l'antisémitisme n'est pas un sentiment chrétien car jamais, autant dans ces actes que dans ses paroles, Il (Jésus) n'en a fait usage !! Et pour cause !

Le jour de son procès où étaient les chrétiens ? Pourquoi n'étaient-ils pas à ses côtés ??

Sur ce sentiment de l'antisémitisme je dirais même qu'il n'est pas humain de l'être !

Plaidoyer pour le voile en terre d'islam


L' irréfutable et bonne raison qui doit faire du voile féminin un élément indispensable à leur survie en terre d'islam - je l'ai déjà dit - tient à l'attitude des hommes à leur égard.

Qu'ils se gouvernent mieux et celui-ce ne sera plus d'aucune nécessité.

Hélas, les poids des uses et coutumes, la nature des institutions législatives qui en dépendent comme dépendent l'entièreté des institutions ne favorisent pas l'émancipation des femmes et la gouverne des hommes, de ces sociétés soumises à une violence endémique que rien ne contrarie, que tout encourage.
Ici, la femme est un exutoire, une victime expiatoire.




Les marchands de vertu


J'en veux à certains marchands de vertu de ne pas en faire commerce pour eux-mêmes - ou si vous préférez mieux - d'en être par trop économe !!

J'accuse !


Qui a-t-il de divin dans le sang d'un poète ?

Sang versé sur l'ordre d'un prophète !

J'en pleurerais presque, songeant à ceux-là qui s'inventent des raisons d'être, somptueux artefacts de l'esprit triomphant.


Je sais donc des intellectuels encombrés d'un savoir qui sert beaucoup trop à justifier leurs égarements, qui en vérité même l'aggrave en proportion du zèle qu'ils témoignent et de leur incontestable talent, lesquels, en quelque sorte, précipitent leur ascension dans la chute.

Cette histoire n'est pas neuve, je le reconnais. Mais, c'est tout de même infiniment attristant que de se dire que nul n'est définitivement à l'abri de l'aveuglement le plus extrême, que l'obscurité peut embraser et perdre les meilleurs d'entre-nous, que la culture n'est pas un rempart suffisant aux pires aspirations, qu'elle peut même occasionnellement servir une cause qui à terme la condamnera.

Les limites de la foi !


Je ne m'explique pas, décemment je ne puis trouver de raison dans l'obstination de ceux qui versent tous leurs efforts, s'emploient à maintenir, à préserver, contre vents et marées, dans cette improbable entreprise dépourvue de bon sens qui consiste à vouloir préserver le bien fondé d'une croyance, d'une pratique religieuse à ce point défaillante !!!

mardi 19 février 2008

Converti à l'islam, j'ai envisagé d'être....


Oui ! je l'avoue, j'ai songé à cette démarche "spirituelle" avant que je ne fasse connaissance, que je ne lise le "Livre" qui a su m'en délivrer !!


PS: je ne pense pas qu'il soit nécessaire de citer le fameux "Livre" référence. Chacun comprendra, je suppose...

Alain Finkielkraut


Je suis très sérieux !!

Ce que beaucoup ignorent, c'est par quel talent il sait se montrer irrésistible.


J'adore, je savoure son sens du comique, son formidable sens de ironie où il excelle tant.

J'invite ceux qui ne l'ont déjà fait à le lire sans plus tarder.

Ismaël

A tous les fanatiques religieux !


Vous aurez encore à suinter beaucoup pour ne jamais me convaincre qu'un âne n'est pas un âne, que la bêtise est autre chose que de la bêtise ou encore - pour être plus précis - qu'un guerrier sanguinaire est un charmant poète inspiré par un Dieu magnanime et miséricordieux.

J'ai sur ces questions primaires posé mes valises et jeté l'ancre irrévocablement.

Un mot libérateur pour dire sa colère ....


Si je devais m'exprimer plus clairement je n'aurais qu'un mot à dire....

Une phrase familière me viendrait aussi à l'esprit, du même genre, empruntant la tématique du mot....

Intellectuels musulmans, à vos neurones !


Le bon sens devrait naturellement suffire pour qu'un intellectuel musulman sache dire les choses pour ce qu'elles sont et par là conduire celui-ci à prendre des positions qui ne soient plus ambiguës sur les sujets qu'il sait. Je rêve d'un monde meilleur et ne puis rien concéder la dessus.

Tous les moyens n'étant pas acceptables pour servir la cause du "Bien", par là j'entends ne pas me nourrir du mensonge, ni jamais justifier l'injustifiable.

Le "Bien" dans son spectre universel ou une juste cause plus simplement ne sauraient avoir à leur service de viles serviteurs qui pour ce "Bien", cette cause à tout seraient disposés.

Tant, il est vrai qu'avec le "Bien" on ne transige pas, tant il est exact que le "Bien" en soit n'est la propriété d'aucun en groupe ou personne en particulier du fait qu'il est un absolu universel que chacun peut reconnaître pour ce qu'il est, pour le bien qu'il produit.

dimanche 17 février 2008

Les intellectuels musulmans



Il est tout à leur honneur d'être des intellectuels, car c'est la chose la plus noble, la plus belle que, par son éducation, par son savoir et son talent, usant de son statut d'écrivain, de journaliste, de philosophe, de pouvoir manier les idées, les concepts et permettre à ceux qui brillent par d'autres talents de mieux comprendre le monde, les choses, les événements qui peu ou prou les interpellent, qui à terme pourront même occasionnellement les concerner, les affecter.
Oui ! il est tout à leur honneur d'en être, de faire partie de ceux-là qui, mieux qu'aucun, sont les plus aptes à propager les lumières du savoir, de l'esprit qui les animent et leur sont parvenues.
Et plaise à Dieu ainsi qu'à ses disciples qu'ils et qu'elles soient, (ces intellectuels) encore et toujours en nombre plus grand !!


Cela étant dis, je puis, moi l'inculte, le mal instruit aux souliers de plomb, je puis m'exprimer maintenant plus librement et dire, fruit de mon expérience, ce que je pense sur le sujet.

Cette expérience me conduit à dire que prétendre suivre la pensée d'un intellectuel musulman bien ancré dans sa religion est une entreprise perdue d'avance. Il prendra soin, ayant savamment affûté sa linguistique de vous entraîner là où, lui-même à l'abri de toutes critiques bien portantes, il entendra vous mener afin de mieux vous perdre, vous égarer afin de réduire voir annihiler la porté de vos arguments.

Les intellectuels musulmans jouent, quand ils jouent ce jeu là, une partie dans laquelle il convient de dire qu'ils excellent et d'où ils sortent en général indemne.

Un langage simple et clair comparable à celui de leur Prophète (Cet illettré qui détestait les intellectuels) est ce qu'ils redoutent le plus.

(Cet illettré qui détestait les intellectuels)

samedi 16 février 2008

Monsieur Ghaleb Bencheikh


Je retiens de l'émission "Répliques" d'Alain Finkielkraut sur France Culture de ce samedi 16 février dernier, comme un malaise en considération des
propos savamment diffus de son invité le journaliste Ghaleb Bencheikh.


Les prophètes Abraham, Moise et Jésus seraient musulmans. C'est l'idée que veut défendre cet éminent islamologue et journaliste. Plaise à lui de le penser et libre à nous, les intéressés d'en face, à le désapprouver.
Faire sa chose, en sa qualité de musulman, des écritures juives et chrétiennes, ainsi que font l'ensemble des adhérents au culte de l'islam semble-être sa démarche, que personnellement je ne puis approuver et qui relève d'un comportement extrême que beaucoup d'islamistes auraient plaisir à ne pas désavouer. Cela étant, concernant les membres des deux religions cités, pour ce qui les regarde, je doute fort qu'elles aient à proposer une identique réciprocité d'intérêt à l'égard des textes révélés du Coran.

S'il n'y avait cette érudition et cette capacité à concéder pas mal au réel tel qu'il se pose au sein d'un nombre éloquent des membres de sa communauté à travers le monde, j'appréhenderais chez cette personne les redoutables atouts dont nous aurions lieu de craindre quelque chose de considérable.

C'est que la clarté, la simplicité d'expression ne sont pas son fort, qu'il se trouve fort bien dans ses limbes, tout à son aise dans ses labyrinthiques réflexions, qu'il est peu prolixe à fixer son attention sur les "sujets qui fâchent" et qui concernent un trop grand nombre d'intéressés.


Des écrits vétéraux et néo testamentaires que savent nos gouvernements, le monde qui nous entoure ? Et l'islam est-il bien fondé ne serait-ce qu'intellectuellement à s'octroyer la propriété d'une histoire, d'un culte dont il n'est pas fondateur ?


Est-il (Ghaleb Bebcheikh) le parangon des islamologues pour par
ler au nom des musulmans et insinuer que les errements de l'islam d'aujourd'hui ne sont en si grand nombre qu'il faille s'en inquiéter beaucoup, que la fâcheuse conjoncture n'est que temporaire, historiquement conjoncturelle ? De notre côté comment pourrions-nous renoncer à l'évidence que les textes fondateurs de l'islam suffisent en eux-mêmes amplement à justifier ce que nous constatons d'injustifiable, en tous lieux où l'islam se pose ?


Il est des temporalités dont on se passerait bien, qui font mal et qui durent hélas des échelles humaines de temps bien trop grandes; suffisamment longues pour produire les maux pour lesquels elles se seront battu, elles auront vécu.

Ayaan Hirsi Ali obtient le « soutien » de la France

Article publié le 10/02/2008 Dernière mise à jour le 11/02/2008 à 05:29 TU

L'ex-députée néerlandaise d'origine somalienne Ayaan Hirsi Ali (g) avec le philosophe Bernard-Henri Lévy (c) et la socialiste Ségolène Royal.(Photo : Reuters)


L'ex-députée néerlandaise d'origine somalienne Ayaan Hirsi Ali (g) avec le philosophe Bernard-Henri Lévy (c) et la socialiste Ségolène Royal.
(Photo : Reuters)

Ayaan Hirsi Ali, l'ancienne députée néerlandaise d'origine somalienne a entamé dimanche à Paris une visite pour demander le soutien de la France et des autres pays européens pour assurer sa protection. Des députés européens, comme Benoît Hamon, et des intellectuels français, comme Caroline Fourest et Bernard Henri-Lévy, ont organisé dimanche soir un rassemblement de solidarité à Paris pour réclamer le financement de sa protection et demander au gouvernement français de lui accorder une citoyenneté honorifique. « Nous sommes vos amis. La France éternelle, celle de 1789, d'Hugo, de De Gaulle, vous a entendue », a assuré la secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme, Rama Yade, sans s'engager formellement sur une naturalisation. Ayaan Hirsi Ali est menacée de mort par les intégristes islamistes.

Symbole de la laïcité pour ses partisans et provocatrice pour ses détracteurs, Ayaan Hirsi Ali est un peu des deux. Née en 1969 en Somalie, excisée à 5 ans, elle suit son père opposant au régime communiste de Siad Barre lorsqu'il s'exile au Kenya. En 1992, elle a 22 ans et elle se réfugie aux Pays-Bas pour éviter un mariage forcé. Elle obtient l'asile politique et la nationalité néerlandaise. Cinq ans plus tard, elle est élue députée du parti libéral (VVD).

Après le choc du 11 septembre 2001, Ayan Hirsi Ali durcit ses propos : elle qualifie l'islam de rétrograde et Mahomet de pervers et de tyran. En 2004 son histoire devient tragique : son ami, le réalisateur Théo van Gogh est assassiné après la sortie du film Submission, un court métrage qu'ils avaient fait ensemble pour dénoncer la condition des femmes musulmanes. Sur le corps de son ami, une lettre la menace directement. Depuis, elle vit dans la peur.

Elle quitte les Pays Bas en 2006 après une polémique sur l'acquisition de sa nationalité : la jeune femme avait menti sur son identité. Actuellement, elle vit aux Etats-Unis où elle travaille pour l’American Enterprise Institute, une fondation proche des néo-conservateurs.

L'appel à l'aide d'Ayaan Hirsi Ali

« J'ai besoin d'aide aujourd'hui, pas parce que je suis opprimée mais parce qu'en Hollande, j'ai parlé au nom de celles qui souffrent en silence. »

écouter 0 min 57 sec

10/02/2008 par Frank Weil-Rabaud

Benoït Hamon

Eurodéputé socialiste et organisateur du meeting de solidarité avec Ayaan Hirsi Ali

« Il est logique, normal même indispensable que l'Union européenne finance la protection et la sécurité d'une de ses ressortissantes. »

écouter 1 min 4 sec

L'Algérie aux portes du cahos.


Les chrétiens sont inquiets...

Article publié le 15/02/2008 Dernière mise à jour le 15/02/2008 à 13:45 TU

Cette crispation suscite l'inquiétude de la communauté chrétienne d’Algérie. Elle intervient deux ans après l'adoption par le Parlement d'une loi qui criminalise le prosélytisme religieux. Celle-ci faisait suite à l'ordonnance présidentielle du 28 février 2006 qui encadre la liberté des cultes non musulmans.

Devant Notre Dame d'Afrique à Alger.(Photo : AFP)

Devant Notre Dame d'Afrique à Alger. (Photo : AFP)

Depuis quelques semaines les faits tendent à se multiplier. Le mois dernier, dans la région d'Oran, un prêtre catholique a été condamné à un an de prison avec sursis, pour célébration d'un culte dans un lieu non reconnu par le gouvernement.

Un médecin algérien, arrêté en même temps que le prêtre, a écopé lui de 2 ans de prison ferme et d'une amende de 2.000 euros. Il lui est reproché d'avoir détourné des médicaments d'un hôpital.

Dans un communiqué daté du 31 janvier et publié cette semaine par le journal el Watan, l'évêque d'Oran, Alphonse Georger, affirme que depuis 9 ans les services de sécurité algériens savaient que des membres de l'Eglise catholique d'Oranie ont régulièrement rendu visite aux migrants subsahariens rassemblés à Maghnia et que la prière était assurée de temps à autre auprès des migrants chrétiens.

Concernant le médecin algérien qui soignait les migrants, l’évêque d'Oran souligne que les accusations portées contre lui sont sans fondements car tous les médicaments ont toujours été payés par l'église catholique. Le prêtre et le médecin ont fait appel.

A Oran toujours, trois pasteurs évangélistes sont accusés de blasphème envers le Prophète. Le jugement n'a pas encore été prononcé. Le procureur réclame 3 ans de prison.

Plus à l'est, en Kabylie, plusieurs communautés évangélistes ont été interdites. Un directeur d'école a été radié. Deux enseignants ont été accusés d'avoir célébré Noël chez eux.

vendredi 15 février 2008

Je vois, je lis dans le Coran, l'ombre fraternelle de Mein Kampf.

Il faut lire le Coran !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'invite tout "l'esprit libre", à lire le Coran. Il y va là d'une urgence, d'un impératif majeur.

Boualem Sansa


Respect et admiration, sont ce que m'inspirent cet écrivain Algérien Boualem Sansa.
Un courage peu commun, une honnêteté toute à son honneur; pour l'honneur d'une nation en forte dérive,


Alain Finkielkraut

Je pense le plus grand bien d'Alain Finkielkraut et je sais qu'il y a de l'audace à affirmer cela aujourd'hui alors même que je juge la chose innocente et si naturelle.

mercredi 13 février 2008

Ce n'est pas possible ! Elles et ils n'ont pas pu lire le Coran !


Je ne puis croire que Fatima cette infirmière si douce, si exemplaire, qu'Aissa et Fouhad ces employés aux télécomunications si patients si prévenants avec tous, qu'Ismain si dévouée dans son travail au guchet de sa banque, que Sofiane si attentive à son devoir si pleine d'humour et de compassion ainsi que Laïla, Oualid, Kassim, Rashid, Aicha et tant d'autres que je ne puis qu'apprécier à leur juste valeur....je ne puis croire que toutes ces personnes pour lequelles je me sens redevable de quelque chose d'immense sur le grand registre des valeurs humaines, pour lesquelles ma gratitude est sans faille, je ne puis croire qu'ils ou qu'elles aient jamais pu lire le Coran.

Sharifa

mardi 12 février 2008

Caricatures


Les plus grandes caricatures de l'islam et du prophète sont le fait des ISLAMISTES.

Je veux dire par là que l'image qu'ils en donnent est particulièrement caricaturale de ce qu'est l'islam en vérité, d'après les modérés eux-mêmes.

Pour le cas où ce point de vue me serait contesté (situation pour laquelle je suis bien disposée), j'apprécierais beaucoup que ceux-là qui le voudont bien m'expliquent une bonne fois pour toute ce qu'est l'islam, ce qu'il veut dire dans ses textes profonds aux versets clairs.






Islam in Europe with Dailymotion

dimanche 10 février 2008

ICÔNES


J'aime les icônes, ces représentations divines d'êtres bien souvent ayant un rapport étroit avec le réel, un réel en excroissance; je les aime même de plus en plus.

Elles savent m'inspirer tant de sympathie,
je leurs trouve tant de charme, de poésie à ces figures humaines au caractère hors du commun auxquelles s'attachent les valeurs et nos aspirations les plus pures, les plus nobles, les plus appelantes.

Une idée forte apparentée à celle de la transcendance m'interpelle avec elles.

Dans ces regards, dans ces voix, en quelque sorte une vérité aussi forte qu'improbable mais contre laquelle aucune rationalité, aucune éthique, aucune croyance ne peut être opposées.

Un pas résolu dans le sublime que rien ne saurait compenser.

Au nom de Allah, le Grand, le miséricordieux, tout ceci a un sens !

Au nom des droits de l'homme, vous n'avez pas le droit de critiquer notre religion comme vous le faites....

Au nom des droits de l'homme, vous n'avez pas à dire, à écrire que la charia est inhumaine. Émanation des textes coraniques, soutenue par la Syra qui lui octroient son caractère divin, elle ne saurait être remise en cause.

Ce qui ne ressort pas de votre culture n'a pas à être critiqué systématiquement. Il y va par là d'une indéniable forme de racisme, d'ostracisme qui doivent être condamnés.

Libre à vous que nos lois que nous approuvons ne vous plaisent pas et libre à nous de ne pas vouloir approuver les vôtres.

Dès l'instant que nos lois nous conviennent, que notre façon de voir le monde correspond à des valeurs qui nous sont chères, vous n'avez pas droit au chapitre. Et vous n'avez pas à vouloir nous imposer un mode de vie qui ne nous agréé pas. Cela serait antidémocratique.

C'est donc sous l'égide de cette démocratie (dont vous semblez tant imprégné) que je vous serais gré de nous laisser vivre en paix et faire chez-nous, au sein de notre communauté, ce qu'il nous plait de faire, ce que nous jugeons bon pour nous.

Dans ce désir de voir se perpétrer nos traditions aux racines pré islamiques , notre code de conduite moral et législatif a prévu de justes sanctions afin de protéger les intérêts de chacun et notamment ceux des femmes auxquels nous sommes très attachés.

C'est ainsi que doivent se comprendre et être respectées l'exécution des peines de la charia que sont notamment les saintes lapidations, les justes amputations de membres et autres sévices corporels que sont également les flagellations en public et toutes sortes d'humiliations exercées au nom du plus Grand, du plus Miséricordieux.

Pour ce qui ressort des autres pratiques tribales
à caractère extrêmement coercitifs où la femme en tant que victime joue un rôle majeur, la charia, dans un souci de concorde préfère ne pas se prononcer et laisse à chaque communauté son libre arbitre.

vendredi 8 février 2008

Incorporating Sharia into legal systems - The Archbishop of Canterbury - The new creazy word !


The Archbishop of Canterbury, Rowan Williams, sparked a stormy debate when he appeared to suggest that some aspects of Sharia law should be adopted in the UK.
A man is held in Bauchi, Nigeria, after a hearing in a Sharia court
Sharia law complements other legal system in several countries

Sharia is a legal and social code for Muslims to live by. It does not offer a fixed set of rules, and there are several differing interpretations. But it has proved controversial in the West for the extreme nature of some of its punishments.

A UK government minister called the idea that Sharia legal system could be introduced alongside the current English system "unacceptable".

In fact, parallel systems do exist in several countries. In some, Sharia exists as an alternative system, and in others it has been incorporated into the existing legal code. We examined different cases to see how it can work in practice.

They are Nigeria, Aceh in Indonesia, India and Egypt.


NIGERIA

The legal structure in Nigeria has its roots in colonial times, when British rulers introduced an Islamic code to co-exist alongside the colonial, English-based judicial system and customary law (supposed to apply to non-Muslim ethnic minority groups).

In 2000, 12 predominantly Muslim northern states adopted additional, stricter Sharia punishments into their penal code - including amputation for theft and, in theory, death for adultery or sodomy.

In part, say correspondents, this was an expression of tensions with the Christian leadership of the country in the south. But it was also a popular - and populist - move that reflected disgust with rampant corruption and misrule.

The Sharia courts mostly deal with domestic issues such as marriage and divorce. The Sharia code runs alongside the secular state system and - in theory at least, and usually in practice - citizens can choose which system they deal with.

Impact

The adoption of Sharia penalties in 2000 sparked riots among Christians in the north in which hundreds were killed.

There have been complaints that the Sharia police, the hisbah, have arbitrarily shut down bars serving alcohol, prevented lone women taking taxis with male drivers, or censored books or plays they deem critical of Islam or immoral.

Correspondents say there are also concerns that Sharia penalties infringe upon the constitutional rights enjoyed by Nigerians.

Flogging is a common form of punishment associated with Sharia law, and there have been amputations, though they are rare.

However, the harshest Sharia penalty - death by stoning - has never been carried out. And for many Muslims in Nigeria, the Sharia courts may provide a quicker, more efficient route to justice than the alternatives.

ACEH, INDONESIA

Partial Sharia law was introduced in the Indonesian province of Aceh as part of an autonomy deal offered by the Jakarta government following a decades-long separatist campaign by rebels. It has been enforced rigorously since the 2004 tsunami.

ACEH PROVINCE
Province on the north-western tip of Sumatra
High percentage of Muslims, and only province where Sharia law allowed
Separatist rebels fought decades-long campaign against Jakarta
December 2004 Indian Ocean tsunami devastated region
New peace talks led to August 2005 agreement

The province has a higher proportion of Muslims than other areas of Indonesia, and many Acehnese practise a stricter version of Islam.

The people of Aceh are banned from gambling, drinking alcohol, and pre-marital sex, and both men and women are expected to dress modestly, with women required to wear headscarves in public.

Offenders may face corporal punishment. There have been calls for the introduction of amputation and stoning for serious crimes, though this does not appear imminent.

Support unclear

The introduction of Sharia law saw the creation of a Sharia police force which complements the regular federal police force in Aceh. But the Sharia force's powers were curtailed after accusations they were enforcing the law overzealously.

It is unclear how much support the imposition of Islamic law has in the province.

Some analysts suggest that in a society long characterised by violence and lawlessness, it was popular at first, but that many Acehnese have been turned off by public whippings and public humiliation, and the strict imposition of headscarves on women. There seems little appetite in the rest of Indonesia for any similar initiative.

Again, there is debate about whether the Sharia rules infringe people's constitutional rights - particularly those of women and the poor.

INDIA

During British colonial rule, India came under a common criminal code of laws, drafted in 1830 by historian Thomas Babington Macaulay.

But the rulers did not attempt to replace the personal laws of various sects and religions with a uniform civil code or common laws. This included Muslim personal laws.

RELIGION IN INDIA
India has 140m Muslims, the third largest Muslim population in the world after Indonesia and Pakistan
They comprise 13% of the population
Christians comprise 2.3% of the population
India does not have an official state religion; it enshrines the right to practise, preach, and propagate any religion

After India became independent, the constitution said that the state shall "endeavour to secure for its citizens a uniform civil code throughout the territory of India".

But India's first Prime Minister, Jawaharlal Nehru, allowed each religious community to retain its own civil laws governing marriages, divorces, births, deaths and inheritances.

This was done to maintain religious harmony after the bloodletting between the Hindu and Muslim communities during the Partition.

There has been no change in the Muslim laws.

Reform call

In 1973, the All India Muslim Personal Law Board was constituted for protection of these laws. The organisation has split with Shias and some women breaking away to form their own personal law boards.

A growing number of community members are seeking to reform Muslim personal laws, chief among them the custom of triple talaq, which permits Muslim husbands to divorce by saying "I divorce you" three times.

At the same time, not all Muslim personal laws have been followed strictly by the community: only 2% of Muslim men in India, for example have more than one wife, though the community's personal law allows men to take more than one spouse.

It is not easy for the government to change community laws - the constitution says that the state cannot alter any community laws without the backing of 75% of the its members.

Africa Have Your Say


Should leaders reveal sickness?

There is no reason why people should not know that their leaders are sick and journalist should report about it because it is their duty to inform the public.

La Turquie et le port du foulard à l'universtité.


L'esprit démocratique ne saurait s'affranchir sans péril extrêms de la laîcité dont elle porte les fondations.

Avec l'islam cette vérité prend des proportions énormes.



Saturday 09 February 2008

Woman at pro-headscarf rally 6 October 2007
Turkey's parliament prepares to change the constitution to ease the ban on Islamic headscarves in universities.

Le laideur, la haine, la violence, l'intolérance se lisent dans ce regard du "religieux" qui ne fonctionne pas !

.
Un délire verbal, comme un cracha, animé des pires intentions.


Video Islam L'unique Religion - Jamel, Mektoub, 5, devoirs, muslim - Dailymotion Partagez Vos Videos

La certitude, la conviction qu'il n'y a rien ici, dans cette représentation d'un pseudo "religieux", rien mais vraiment rien de spirituel.
Toutes valeurs, toutes dimensions spirituelles dans ce rap, dans cette incantation aux portes du fascisme sont rigoureusement ABSENTES.

Le totalitarisme d'une pensée de la soumission, réduite par son mode d'expression à son minimum, prête à inoculer l'infâme et ultime venin.

Plus rien à penser ! Ce travail de la pensée est accompli depuis plus de XIV siècles et vous n'avez plus de question à vous poser. On a déjà pensé pour vous !!!

Ce n'est pas un asile à part dans la vie, c'est la vie toute entière qui nous est promise dans un immense asile à faire peur, à faire pleurer, une usine à désespérer la vie.

J'entends le BRUIT des bottes qui annoncent les peines, les sanctions déja prononcées.

jeudi 7 février 2008

Le Coran est un avertissement !!!!

Je n'invente rien, je ne fais que citer.

"Que de civilisations n'avons nous pas anéantis" nous dit le Coran "qui surpassaient la vôtre !"

Ismael est debout qui vous parle !


L'oeuvre du bien est ce qui m'importe, seul !!

Dans son innocence, dans sa fragile innocence.

Se taire est un "crime" !


Le silence ici est un crime de lèse collaboration

"Lèse" en grec ancien signifiant: s'en rendre coupable

mercredi 6 février 2008

Les idées fausses de mon enfance


Longtemps, j'ai vécu bercé par l'idée que la religion de mes parents était belle, qu'elle s'inscrivait auprès des justes en lettres de paix et de justice, que les mots "amour" et "compassion" lui étaient intimement liés. Longtemps, mon enfance durant, j'ai vécu dans cette idée fausse, hélas.

A cette époque, celle de mon enfance, tout était différent; les imams étaient différents; ils ne crachaient pas la mort dans les micros aux sommets des minarets.

Les femmes n'étaient pas voilées, ensevelis sous d'épaisses et sinistres burkas et les hommes les respectaient plus encore qu'ils ne font aujourd'hui. Les enfants n'étaient pas privés de leur enfance; on ne cassait pas leurs jouets, on ne s'employait pas à briser leur imaginaire.

Les adultes avaient alors tout leur sens et se gardaient bien d'interpréter les textes sacrés avec la rigueur d'aujourd'hui. L'innocence, une certaines innocence rendait la vie plus belle encore et bien que de condition modeste voir pauvre, beaucoup d'entre-nous étions riche d'un bonheur, d'une joie de vivre qui n'a plus cours.

Ismaël

Folie et islamisme, la différence ?


Il n'y en a pas !!! J'affirme...


l'islamisme légitimé par les textes scripturaires auxquels il se réfère ne pouvait que produire les effets dont ces textes font profession de foi et sont la cause.

C'est ainsi que l'on peut dire que l'islamisme dans ses pires manifestations, les plus déviantes, les plus extravagantes ne doit rien à lui-même par sa nature mais tout à ses fondements dit "spirituels" et que s'il est déviant, il est fondé à l'être.

Est déviant ce qui remet en cause le sens commun, ce qui s'oppose aux lois naturelles de l'espèce et la met en danger, voir même la condamne, ce qui offusque, défend et répand la haine et le crime.






Ismael


L'Islam est l'école de la soumission, le Coran en est sa lecture, sa rivière.


Il est plus facile d'être "soumis" que "libre"



FR2 - Témoignages - "Femmes d'Islam"

De nos jours, l'idée du "beau" n'est pas islamiquement correct


Alors que....


Même les fous ont de l'intérêt pour le "joli".

Ce qui est joli, ce qui est beau continue à passionner ceux que la raison a désertés.


"Histoire Autour de la folie" - Reportage de Paul Murel et Bertrand Sollier

L'excision ? Je sais tout le monde s'en fou ici !!!


On estime que deux millions de très jeunes filles sont excisées, c'est à dire mutilées sexuellement chaque année.

Ces actes chirurgicaux qui provoquent d'atroces souffrances se pratiquent toujours sans anesthésie et dans des conditions d'hygiène plus que déplorables.

Dans la plupart des pays occidentaux, elle est poursuivie et punie comme un crime
grave, même si sa pratique s'y perpétue.

Il s'agit d'un rite de grande barbarie pratiquée quasi exclusivement dans un grand nombre de pays islamiques qui remonterait à l'époque de Égypte ancienne et que la charia (loi de l'islam) ne remet pas en cause.


Soutenu par nombre de musulmans ?


C'est mon sentiment; je me sais, parfaitement et de plus en plus, entendu par un nombre croissant de musulmans qui pressentent l'urgence d'une réaction positive et ferme.

La dérive folle d'un islam incontrôlé n'est pas sans les effrayer !

mardi 5 février 2008

Je m'amuse beaucoup en n'écrivant qu'à moi-même ce que beaucoup devraient savoir !


A la vérité, beaucoup en savent certainement beaucoup plus qu'ils ne disent !

Oui ! mais alors pourquoi le taire ?

Les peuples arabes et musulmans responsables de leur destin.


J
e ne trouve aucune opposition à ce que je dis, parce que ce que je dis est exact !!!

Il est exact de dire que les peuples arabes et plus généralement musulmans sont des peuples en souffrance, que cette souffrance est intolérable même si le Coran lui trouve quelque noblesse.

Il est exact de dire que la responsabilité de cette souffrance n'est pas du fait des occidentaux ni du peuple juifs.
La misère des Indonésiens, des Pakistanais, des Somaliens, celle à venir peut-être des Malaisiens et autres contrées ayant peu sinon aucun contact avec Israël, en témoignent.


Il est exact de dire que tous les êtres humains ont un identique droit au bonheur et qu'il s'agit là d'une propension naturelle.

Il est exact de dire que tous les enfants ont vocation à être heureux, à prendre du plaisir à vivre et qu'il s'agit là pour eux d'une exigence naturelle aussi.

Il est exact de dire que la maltraitance des enfants consiste aussi à les priver de leur innocence en les projetant dans un monde qui n'est pas le leur, les obligeant à lire des heures durant des versets du Coran dont ils n'ont que faire, quand ils n'ont pour désirs que jouer, s'évader, courir, rêver, crier et
RIRE!

Qu'Allah le bon, le miséricordieux, le tout puissant nous entende !



Isamël

lundi 4 février 2008

Le hamas responsable de la misère du peuple Palestinien.


C'est la hamas qui est responsable de la misère, de la souffrance d'un million et demi de Palestiniens.


Ses roquettes lancées sur Israel ont donné, au Premier Ministre Ehoud Holmer, l'occasion de montrer sa force et de remonter dans les sondages.

Courrier International - Abderrahman AL-Rasharq, Al-Awsat, Londres.




Je ne fais que dire la vérité, je suis un pêcheur de vérité.


Beaucoup disent ce qu'ils pensent sans l'avoir pensé vraiment mais ceux-là ne sont pas les pires.


Pour ma part, le plus possible, je m'emploie à dire ce que je pense quand d'autres s'évertuent à penser ce qu'ils disent. Je l'avoue ces derniers sont les plus redoutables !

C'est ainsi que j'ai pu en déduire que monsieur Tariq Ramadan était un grand penseur.

La nostagie coloniale dont personne en Occident n'ose parler.


A considérer le continent Africain dans sa quasi intégralité on se trouve légitimement amené à s'interroger sur les bienfaits du colonialisme Européen, et, amère constatation, à le regretter.

Imaginer un instant ces anciennes colonies et protectorats:

L'Algérie, la Tunisie, l e Maroc, l'Egypte, le Bénin (à l'époque Dahomey), le Burkina Faso (à l'époque Haute-Volta), le Cameroun, la République Centrafricaine, le Tchad, la République du Congo, le Gabon, la Guinée, la Côte d'Ivoire, le Mali, la Mauritanie,
le
Niger, le Sénégal, le Togo, Djibouti, les Comores, Madagascar, l 'île Maurice , la Tanzanie, le Liban, la Syrie et Haîti
qui durant cette période coloniale française, fut aussi surnommée la « perle des Antilles ».

Imaginez ces pays indépendants d'aujourd'hui, ces anciennes Colonies et protectorats d'hier, toujours sous drapeaux Français.
Imaginez un instant seulement !!!!!
La paix avec Israël, la prospérité enfin partagée, un avenir possible.
Imaginez le bonheur, cet inconcevable !



Mamoun Fandi (Courrier International)

"J'aimerais que l'on puisse préserver les acquis civiques datant de l'époque postcoloniale. Car il faut reconnaître que le meilleur de l'Egypte moderne est dû à la génération qui a été éduquée durant la période libérale de la monarchie."

Monsieur Ramadan bonjour ! Salam !


"Y a-t-il une raison du côté d’Israël ?"
écrivez-vous sur votre site en première page.

Comme cette question que vous posez est lourde !
C'est pour mieux m'exprimer mon enfant !

De quelle raison parlez-vous ? J'entends ici que vous évoquez en termes à peine feutrés sa raison d'être, son droit d'exister ! D'où cette lecture que chacun peut déduire : "Israël a-t-il le droit d'exister ?"

Ce qui me gène dans l'obscurité, c'est qu'aucun Dieu n'en est jamais sorti !
Le pire lui fait escorte.


Ismaël


dimanche 3 février 2008

Nazisme et islamisme, même combat ?















Il est des évidences qui ne choquent personne.
Nous sommes d'accord ?

Sinon, ça se saurait et quelqu'un aurait dit quelque chose ...

Pourquoi beaucoup d'occidentaux ont peur de l'islam ?




La réponse est dans le CORAN


Le monde musulman est responsable de ses propres malheurs.


Je crois que les musulmans ne sont pas fondés à détester l'Occident ni à envier ses richesses.

Le monde musulman regorge de ressources naturelles et intellectuelles dont il ne parvient pas à tirer les profits équitables que rien ni personne en Occident ne lui interdit.

Il doit à lui-même sa part de malheur et cela est insupportable ! Aucune conscience humaine ne peut s'y résoudre.

A mon épouse.


Je te dois tant de choses que je ne puis m'offrir .

L'être réel ....


L'intimité de l'être n'a que peu d'intérêts au regard de ce qu'il recèle.

La lecture est-elle bien utile ?


Certains musulmans posent cette question.

Ma réponse:

Je dois à la lecture l'ouverture du Monde tel qu'il se présente et tel que je puis l'envisager dans son acceptabilité.


Avec elle et par elle, je n'appartiens plus à personne.

Je suis libre, mon esprit est LIBRE !



Réponse de style coranique:

Le Coran veut dire '"soumission" ce qui exclut tous principes de liberté individuelle. La lecture ainisi que la culture étant les moyens les plus sûr de s'affranchir, elles sont "HARAM" (Illégales, interdites)


Mahmoud DARWICH


Je crois que, malheureusement, aucun pays arabe n’échappera à l’expérience islamiste. Le monde arabe n’est plus celui des années 1950-1960.

Le monde arabo-musulman aujourd’hui est en pleine expansion islamiste, et le prix qu’il aura à payer pour cette phase historique sera très cher.

Je suis effaré de l’ignorance générale en Occident vis-à-vis de l’islam politique.

Qui peut vivre sans espoir que le monde ira vers le meilleur, vers le beau ? La poésie ne peut exister sans l'illusion de ce possible. Elle est un langage commun à tous les humains.
Elle transgresse les frontières. Au fond, son seul véritable ennemi, c’est la haine.

L’identité n’est pas un héritage, mais une création. Elle nous crée, et nous la créons constamment.
Mon identité est plurielle, diverse. Aujourd’hui, je suis absent, demain je serai présent.

J’essaie d’élever l’espoir comme on élève un enfant. Pour être ce que je veux, et non ce que l’on veut que je sois.

Caricature du prophète - L'aveu


Complexe d’infériorité - Par Arezki Metref

Les caricatures de Mahomet ont, selon Arezki Metref, journaliste et écrivain, suscité des réactions démesurées dans le monde musulman. Celui-ci a développé un complexe d’infériorité, imputable à l’hégémonisme de l’Occident, mais renforcé par la victimisation mise en avant par l’intégrisme.

Des journaux égyptiens et jordaniens empêchés de paraître, des journalistes ­ dont deux en Algérie ­ emprisonnés, des journalistes de la télévision algérienne virés, un prêtre chrétien assassiné en Turquie, deux ambassades à Damas et une autre à Beyrouth incendiées, des procès contre des journaux en France, des manifestations massives dans les pays musulmans et dans certaines villes d’Europe, le boycottage des produits danois : c’est le bilan provisoire des « caricatures danoises ».

Ces réactions à de simples dessins, aussi gravement blasphématoires puissent-ils être perçus, sont disproportionnées. Nous sommes dans la démesure.

Le directeur d’un centre islamique de Malaisie, interrogé par Euronews, en concluait cette vérité d’évidence que « des dessins seront toujours des dessins », si « notre but avait été de donner une image archaïque de l’islam, nous ne nous y serions pas pris autrement ». Indépendamment de toutes les autres conséquences, cette affaire révèle, au fond, l’extrême vulnérabilité psychologique dans laquelle se trouve le monde musulman.

Elle met en relief ce ressort d’une véritable paranoïa civilisationnelle : le sentiment d’être constamment agressé dans son nom propre ! Cette irascibilité qui part au quart de mot est le symptôme d’un déclin. Les civilisations qui se sentent bien dans leur peau se soucient fort peu du petit coup de griffe qui prétend bafouer ce qu’elles ont de plus sacré. Les peuples fragilisés, eux, n’ont pas les mêmes défenses immunitaires. Ils se laissent dominer par les plus extrémistes d’entre eux.

La configuration historique du monde, marquée par l’hégémonisme de ce que le poète palestinien Mahmoud Darwich appelle le « "despotisme universel" américain et des despotes locaux », exacerbe sans doute la porosité du monde musulman au complexe d’infériorité par rapport à l’Occident. L’arrogance et l’étalage insultant des richesses de ce dernier suffisent à fournir l’alibi aux pires réactions épidermiques des musulmans, qui trouvent, en face, de quoi justifier des errements passéistes intrinsèques. (Zone d'ombre du discourt)

La relation de répulsion/fascination que continue à inspirer l’Occident au monde musulman est au coeur de la souffrance de « l’homme malade » qu’il est sans discontinuer depuis la chute de l’empire ottoman. Incapable d’accéder à sa propre histoire, il se voit contraint de n’exister, en bien comme en mal, que par rapport à l’Occident.

Ce conflit chronique, alimenté du côté occidental par des restes mentaux de « Croisades », permet au monde musulman de s’absoudre de la responsabilité de toute action destructrice ou autodestructrice pour l’imputer à l’Occident.(zone d'ombre du discourt)

« Notre problème, c’est que nous avons à traiter avec l’Occident à partir d’une position de faiblesse à la fois matérielle et psychologique. L’admirant avec excès, paralysés par notre complexe d’infériorité, nous avons cherché davantage à le singer en tout qu’à recueillir ses apports dans tel ou tel domaine », reconnaissait déjà en juillet 1990 le chef intégriste tunisien, Rachid Ghannouchi, dans un entretien à Jeune Afrique Plus. Mais un complexe d’infériorité s’exprime toujours sous forme de complexe de supériorité. Lorsque, dans l’émission « Ripostes » (France 5) du 12 février dernier, Fouad Alaoui, secrétaire général de l’Union des organisations islamiques de France (UIOF), explique à Philippe Val, directeur de Charlie Hebdo, ce qu’est la liberté d’expression, nous surprenons ce complexe en flagrant délit de métamorphose. Le docteur Kazem Habib, un militant irakien des droits de l’homme, observe que « la plupart des imams des mosquées d’Europe » enseignent « la haine de l’Occident et des autres religions, parce qu’ils considèrent les Occidentaux comme des impies qui ne sont d’aucune utilité pour l’islam. Ils les voient comme des "parasites" dont il faut se débarrasser, ou qu’il faut convertir ». L’ennui avec cette supériorité proclamée, c’est qu’elle n’offre aucun site historique visible.

Du monde musulman, gouvernements cacochymes et groupes extrémistes confondus, il s’élève un cri étrange qui mêle « le mépris de la vie et l’amour de la mort, la haine de l’autre et la glorification de soi, le dédain de ce monde et [le culte] de l’Au-delà ». Cette caractérisation de l’état dans lequel se trouve le monde musulman est exprimée par le chercheur irakien Madjed Al-Gharbaoui. Le rapport inégalitaire entre Occident et monde musulman suscite un repli identitaire de ce dernier ; même ses élites laïques sont sommées de rejoindre le troupeau. Les élites anti-impérialistes de jadis, celles qui se battaient pour la justice sociale, sont aujourd’hui perplexes. Entre une liberté confondue avec l’éloge de l’Occident et la défense de leurs peuples gangrenés par l’intégrisme, leur coeur balance, en fait, peu. Au mieux, on sort l’un des deux fers au feu. L’un est un discours à consommation externe qui surligne l’intérêt de la démocratie occidentale tout en mettant un bémol sur les excès xénophobes (et, depuis peu, islamophobes) de leur système. L’autre discours, c’est l’alignement sans vergogne sur l’intégrisme au nom de la résistance à la domination de l’Occident sur le monde musulman. Ces intellectuels et politiques arabes sont la cible de la satire du savant et chroniqueur égyptien, Mamoun Fandy, ulcéré par leur hypocrisie devant le terrorisme. « En Égypte, écrit-il, il existe actuellement un groupe d’écrivains et de directeurs, et même de politiciens de plus de 50 ans, qui prennent du Viagra politique, entrent en état d’ivresse et d’excitation quand ils maudissent les États-Unis et applaudissent les terroristes ». Ces applaudissements sont l’incubateur de cette violence qui, un jour ou l’autre, se retournera contre eux.

L’affaire des caricatures montre ceci : l’intégrisme a vaincu la résistance laïque dans le monde musulman. Il s’agit aujourd’hui de sauvegarder la laïcité au niveau universel. Comment ne pas penser précisément à l’Algérie qui a été, pendant dix ans, un laboratoire sanglant, où les tests de résistance ont été menés par l’intégrisme ? La victimisation, grâce à laquelle l’intégrisme est arrivé à se faire entendre en Occident et avoir la préférence des gouvernants de ce dernier sur les démocrates, est restée productive. Elle sert encore dans ce débat sur les caricatures. Il faut que le monde musulman sorte de cette appréhension névrotique de l’Occident.